French Bee se lancera bien vers Montréal en 2025
La filiale low cost du groupe Dubreuil continue d’étendre son réseau en Amérique du Nord et ouvrira l’été prochain une ligne vers Montréal.
Le bruit courrait dans les allées du salon IFTM il y a quelques semaines à Paris : French Bee, la compagnie française low cost et long-courrier, lancera ses Airbus A350-900 entre Paris-Orly et Montréal-Trudeau à compter du 30 avril 2025, pour la saison d’été.
Quatre vols par semaine seront opérés, avec une pointe à cinq au mois de juillet, opérés sur les A350 de la compagnie, configurés pour 376 sièges en classe éco et 35 sièges en classe Premium. Les départs d’Orly se feront depuis le Terminal 4 à 19h20 avec une arrivée prévue au Québec à 21h. Le vol retour partira lui à 23h pour une arrivée en France à midi le lendemain. Sur cette ligne, French Bee viendra concurrencer Corsair. Depuis CDG, Air France, Air Canada et Air Transat exploite la ligne vers Montréal.
Les tarifs d’appel annoncés restent toujours aussi compétitifs : 285 euros l’aller-retour en tarif « Bee light », 475 euros en « Bee Smart » et 675 euros en « Bee Flex ». En premium, les aller-retours démarreront à 949 euros en « Smart » et 1149 euros en « Flex ».
7e destination long-courrier
Une nouvelle ligne qui vient étendre un peu plus le réseau de la compagnie à bas cout du groupe Dubreuil en Amérique du Nord, où elle vole déjà vers San Francisco, Los Angeles, New York et Miami. French Bee vole également toujours vers La Réunion et vers Tahiti (via San Francisco).
« Avec l’ouverture de cette nouvelle destination, French bee continue d’étendre son réseau international, particulièrement en Amérique du Nord, passant ainsi de 6 à 7 destinations long-courriers. Montréal est un centre économique important avec une population cosmopolite, créant ainsi une demande pour les voyages d’affaires et de loisirs tout au long de l’année. Cela représente une belle opportunité pour French bee et la promesse d’une collaboration fructueuse avec tous les acteurs locaux. Nous sommes fiers de faciliter encore davantage les échanges entre la France et le Canada », indique Christine Ourmières-Widener, présidente de French bee, dans un communiqué.
